
Je n’en suis pas arrivé là par hasard.
Ce que j’ai traversé, ce que j’ai appris, ce que j’ai compris m’a amené à accompagner.
Pas pour vendre du rêve, pas pour jouer au sauveur. Mais parce que ça a du sens de le faire, ici et maintenant.
Je suis là parce que ça compte.
Pas pour imposer. Pas pour prétendre. Pas pour jouer un rôle.
Je suis là pour guider. Avec clarté, avec présence. Parce que je sais ce que c’est de perdre pied. D’étouffer dans un quotidien qui tient debout en surface mais qui s’effondre à l’intérieur.
Accompagner, pour moi, c’est créer un espace réel. Sécurisant. Brut. Sans filtres. Un cadre clair, humain, vivant. Un endroit où tu peux enfin poser ce que tu portes et commencer à bouger. Pour de vrai.
Mais je sais aussi ce que c’est de vouloir plus. De sentir qu’on est en-dessous de ce qu’on pourrait vraiment être.
Je ne suis pas là que pour ceux qui craquent.
Je suis là aussi pour ceux qui veulent se forger.

Ce que je fais et comment je le fais.
Je ne donne pas de recette. Je ne te tends pas un plan tout fait. Je t’apporte des outils.
Je regarde avec toi ce qui est là. Même ce que tu veux pas voir.
Je te dis pas quoi faire. Je t’aide à voir clair. À comprendre ce qui coince. À poser ce qui pèse. Et à avancer.
Je bosse sans masque. Sans filtres. Avec une écoute totale. Une parole franche. Même quand elle secoue. Surtout quand elle secoue.
Je regarde ce qui se passe vraiment. Pas ce que tu crois. Pas ce que tu montres. Ce qui est là.
Je suis là pour t’aider à remettre de l’ordre dans ta tête. À virer le brouillard. À poser des bases solides.
Pour que tu trouves ta direction. Pour que tu avances. Pas juste dans la difficulté. Mais aussi dans l’ambition.
Si t’es prêt à poser le masque, à faire le tri, à construire quelque chose qui t’ancre pour de vrai, alors je suis là.
Sérieusement. Et jusqu’au bout.


Ce qui m’a forgé.
Avant d’accompagner, j’ai été sur le terrain.
Dix ans dans la sécurité : protection rapprochée, maintien d’ordre, interventions sous pression. La gestion de crise, je ne l’ai pas apprise dans des bouquins. Je l’ai apprise quand ça dérapait pour de vrai.
J’ai appris à rester lucide dans le chaos. À intervenir vite. À garder le cap même quand tout craque. À agir vite, sans stress ni panique.
Puis j’ai changé de trajectoire. Mais pas de rigueur.
Je me suis formé à l'ARPIH, une école supérieure reconnue, en suivant une formation complète d’éducateur social. Et je l’ai fait en parallèle du terrain,
au contact des situations les plus brutes : jeunes en rupture, détresse profonde... des situations où le vernis saute vite. C’est là que j’ai appris à écouter pour comprendre. Pas pour répondre. À lire ce qui se joue derrière les mots, derrière les postures, derrière les silences.
Ce n’est pas une méthode ou une théorie qui m’a forgé. C’est ce que j’ai vécu, observé, compris et intégré. Et je mets ça au service de ceux qui sont prêts à bouger.
Pas pour faire joli, mais pour accompagner ceux qui sont prêts à sortir de leurs fausses vérités.
Et quand c’est trop tendu pour que ça se règle calmement,
je sais intervenir. Pour stabiliser. Pour recadrer. Pour relancer. Pour de vrai.
Maintenant tu sais d’où je viens et comment je travaille.
Si c’est clair pour toi, la suite t’appartient.